mercredi 31 octobre 2007

page 94

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mardi 30 octobre 2007

lundi 29 octobre 2007

page 92 la main que l'on croyait tendue

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repos... ou tentation

Qu'il serait doux d'aimer sans préjugé
-ne plus changer, arrêter le temps-
Qu'il serait doux de ne pas démolir
ce qu'un jour j'ai aimé.

page 91 manque de goût

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vendredi 26 octobre 2007

Paris

Paris est une belle ville
un coeur qui palpite
et qui vibre.
Je me sens l'âme d'un vacancier.

page 90 promenade

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jeudi 25 octobre 2007

les Frigos

je souris, je me sens détaché:
Ce sont des gens normaux.

page 89 cellule

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mercredi 24 octobre 2007

page 88 repli sur soi

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page 87 on s'habitue à tout

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au théâtre

rue de Nesles,
un vieil homme caresse la cuisse d'une brunette en blouse bleue
il est assis elle est debout
quasi nue près de lui.
Un paquet de nouilles dégouline d'un distributeur de capotes
soupe chinoise.
des véhicules militaires passent en trombe sur les quais.
On s'habitue à tout.

page 86 piéton de Paris

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page 85 fin du rêve

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page 84

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mardi 23 octobre 2007

lundi 22 octobre 2007

[...]

Il est terrible de ne pas trouver l'instant magique
de la rencontre.

page 81 sous mes pas

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parcours

J'ai besoin de m'aérer.
Je vais faire un tour à l'expo des Singuliers.
Un repère de corsaires débordant de trésors colorés,
un vrai coffre à jouets dans lequel on circule
mais qui me laisse un arrière-goût de dépit dans le regard...
je ne suis pas en phase.
Sûrement le rhume...

page 80 désamour

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vendredi 19 octobre 2007

il s'arrête

rue des Archives,
il dépose ses bagages devant un entrepôt.
J'imagine qu'il récupère des chutes,
négocie des vieux pots
avec certains magasiniers,
des personnes arrangeantes.
Je suppose, me demande,
je m'interroge toujours...

page 79

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je ne sais pas où il est...

Il y a du monde,
beaucoup de monde
dehors dedans dehors.
Au comptoir, on doit jouer des coudes.
Je me penche pour guetter.
Cris des serveurs cliquetis des couverts
chuintement de la machine à café.
Un ivrogne, jeune et beau, laisse couler sa morve
dans l'assiette qu'il délaisse.
Deux vendeuses, à côté, aux seins énormes et découverts,
se curent les ongles en critiquant leurs chefs.
Moi, je sirote.
Quand soudain...

mercredi 17 octobre 2007

page 78

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page 77 j'écoute

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mardi 16 octobre 2007

17 heures.

Je sors de mon sous-sol.
La journée se termine et c'est une délivrance.
J'avance bouche ouverte, les yeux brûlés par les néons.
J'avale des goulées d'air
mais je garde l'odeur et les poussières sur moi.
Ne pas penser au lendemain
surtout ne pas penser.

page 76 mise à part

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Chaissac

J'ai des lettres au fond des poches,
des extraits qui me plaisent. Celui-ci:
en 1938, Chaissac déclare à son médecin:
"Mon cas ne peut se guérir avec une formule chimique,
je n'ai rien d'organique. Je suis artiste et c'est incurable."
Chaissac me fait du bien.

page 75 le chemin du matin

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lundi 15 octobre 2007

samedi 13 octobre 2007

page 72

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vendredi 12 octobre 2007

j'étouffe.

Il fait chaud; je prends l'air.
Intérieur - extérieur,
il fait chaud et mes jambes me trahissent.
Personne/nulle part/personne.
Paris est désertée.
Je m'enferme chez moi.
Trop de contradictions.

page 71 artifice

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page 70 marionnettiste

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